Qui a la plus grosse ?
…audience

Je suis admiratif de ces audiences exceptionnelles sur Linkedin… et les autres réseaux…
Admiratif et impressionné.

Surtout quand je lis les différentes méthodes à utiliser (pas sûr d’avoir le courage pour toutes) :

👉 Apporter de la valeur à mes followers
👉 Publier tous les jours
👉 squatter les sujets d’actualité
👉 Utiliser les secrets de copywriting

Bon, après, il y a aussi ce qu’on ne nous dit pas… mais qu’on apprend au détour de posts “underground” :

😭 “Mon profil s’est fait bannir à cause d’outils d’automatisation”

😭 “J’utilise des pods (parfois même automatisés) pour multiplier les commentaires… bofs bofs…”

Tout ça, c’est de l’audience, un levier extraordinaire pour la notoriété et le business qui en découle.

Pourtant, j’ai des interrogations quand j’entends parler de communauté.
Est-ce qu’on peut vraiment qualifier de “communauté” 50.000 personnes que l’on n’a jamais rencontrées et qui ne se sont jamais vues ?

Clairement non, même si c’est une audience fidèle…

Dans les réseaux professionnels, même question : suffit-il d’augmenter le nombre de ses adhérents, ou le nombre de participants à ses événements pour considérer que l’on a une communauté ?

Clairement non, et d’ailleurs de nombreux – grands – réseaux l’ont compris après les 2 années de crise sanitaire. Le réveil a été douloureux : “mais où sont passés mes adhérents ?!”

Cette semaine, je fais le point sur les 4 critères qui permettent de transformer son réseau en vraie communauté.

Et, en même temps, j’ouvre le débat, je fais appel à vos expériences de communautés.

🚀 Commencez par une communauté d’intérêt
🚀 Focalisez sur la communauté de pratique
🚀 Isolez la communauté d’objectifs
🚀Construisez la collaboration

🚀 Et un secret qui deviendra votre boussole

#reseaux #networking #reseautage #communaute